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    Toute notre vie nous la passons à ne pas savoir,<o:p></o:p>

    Toute l'histoire humaine passée, pour s'apercevoir,<o:p></o:p>

    Que malgré l'intelligence qui caractérise notre espèce,<o:p></o:p>

    Nos technologies si futuristes et toutes nos richesses,<o:p></o:p>

    Qui, depuis la préhistoire, nous enseignent les sciences,<o:p></o:p>

    L'art, les mathématiques, la perception de la conscience,<o:p></o:p>

    Nous ne pouvons pas encore, à cette heure de l'avenir,<o:p></o:p>

    Percer le mystère, et ses clefs dans notre main, détenir.<o:p></o:p>

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    Alors pauvres bipèdes bien pensants, nous sommes réduit,

    <o:p></o:p>

    A se dire ce que, depuis presque deux semaines et demi,

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    Tu répètes à  volonté, quand, sur demain, je te pose questions,

    <o:p></o:p>

    « On ne sait pas », quatre mots résumant la même injonction,

    <o:p></o:p>

    Attends !, la nuit est bien trop noire pour distinguer l'amour,<o:p></o:p>

    Et moi, à  chercher où se cache l'espoir dans tout ce discours,<o:p></o:p>

    Ne le trouvant pas, je n'ai d'autres solutions, l'esprit résigné,

    Que regarder un à un, dégouliner les grains dans le sablier.

     


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