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    Comme une lente agonie qui s’'éternise,<o:p></o:p>

    Mes nuits vides, sans Sissi m'’épuisent,<o:p></o:p>

    Ces heures à penser, le sommeil chercher,<o:p></o:p>

    Les larmes sur mes joues continuent à couler.<o:p></o:p>

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    Lassé des insomnies, de la folie qui m'’envahit,

    De son image, qui perpétuellement me poursuit

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    Trois heures du mat', me hante encore le son mat,

    De son prénom, perdre la raison, devenir automate.<o:p></o:p>
     
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    Ne veut se taire, de la cicatrice béante, la douleur,

    Se lève, moi, le zombie, marche du pas du malheur,

    Tourne et vire, dans mon crâne le derviche tourneur,

    Aux paradificiels m’'abandonne pour quelques heures.

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    Malgré l’'éthyl’isthme ne trouve pas le repos de l’'âme,

    Les yeux ouverts, fixés sur ton visage en hologramme,

    Mon sang trace, de l’'amour perdu le Sissismogramme,

    Je vais enfoncer en mon coeœur, de cette dague, la lame.

     

     

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